
Aider les primo-accédants qui travaillent





Alors que le logement devient un poste de dépense toujours plus lourd pour les ménages français, l’accession à la propriété est devenu un objectif inatteignable pour de nombreuses familles, y compris celles qui travaillent, contribuent et participent à la vie locale.
Dans les grandes villes et les zones tendues, le marché immobilier a dépassé les capacités d’achat des classes moyennes, des jeunes actifs, et même des familles avec deux revenus.
Chez Renaissance, nous croyons que la propriété peut redevenir une opportunité accessible pour celles et ceux qui souhaitent s’ancrer durablement dans leur territoire.
C’est pourquoi nous proposons un dispositif audacieux et équitable d’aide à l’achat immobilier, pour aider les primo-accédants à devenir propriétaires de leur résidence principale, là où ils vivent, travaillent, élèvent leurs enfants.
Afin d’aider les primo-accédants à acheter leur résidence principale dans des grandes villes ou des zones tendues ayant des prix de l’immobilier particulièrement élevés, nous souhaitons
Cette politique ne pourra réussir que si l’administration se positionne clairement comme un levier d’accès et non comme un frein. Les démarches devront être simplifiées, les procédures accélérées, et les blocages administratifs levés chaque fois qu’ils ne sont pas strictement justifiés. La transparence, la lisibilité et la réactivité des services publics doivent être garanties pour faire de ce droit au logement une réalité concrète.
Nos mesures pour porter cette ambition :

L’ambition est d’aider les parents ayant une activité mais ayant des revenus trop faibles pour avoir un logement adapté à leur situation familiale, ou les jeunes actifs ayant des revenus modérés, insuffisants pour acheter dans la ville de leur emploi. Le niveau de revenus maximum pour bénéficier de ce mécanisme pourrait dépendre du revenu médian de la ville concerné pour tenir compte des spécificités locales.
La commune versera une aide mensuelle les cinq premières années d’un montant maximal de 100 €, sur cinq ans.

La participation de la mairie, concrétisée dans le cadre d’une foncière, s'élèvera à hauteur de 30%, en fonction des profils et des revenus pour aider à l’achat. Cette part acquise par la foncière municipale sera remboursée cinq ans plus tard par le propriétaire. Si le bien est revendu entre-temps, la mairie récupère la somme d’argent engagée par la collectivité à hauteur de sa participation.



