
Manger frais, manger local





Nous voulons que nos enfants mangent frais, mieux, avec une production locale, parce que cela protège leur santé, parce que cela dynamise notre économie, et parce que cela réduit notre empreinte écologique.
Face aux défis climatiques, économiques et sanitaires, l’alimentation est au cœur de la transition écologique et sociale. C’est pour cela que nous portons une politique alimentaire volontariste pour nos territoires !
Nous développerons cette politique à l’échelon des communes et des intercommunalités parce que nous voulons agir concrètement et directement en développant des politiques de proximité ambitieuses et durables en faveur de circuits courts.
Depuis 2017, les gouvernements successifs ont engagé avec les agriculteurs, les filières et les collectivités une transformation profonde de notre modèle agricole et alimentaire, avec des initiatives fortes comme les États généraux de l’alimentation, les lois EGAlim 1 et 2, ou encore le soutien accru au bio et aux circuits courts via le Plan France Relance.
Nos mesures pour porter cette ambition :

Nous conduirons des diagnostics territoriaux en concertation avec les acteurs de toute la filière alimentaire locale pour valoriser les offres agricoles du territoire et identifier les besoins des restaurants collectifs. Nous accompagnerons les collectivités locales pour structurer l’offre en circuits courts en accompagnant la mutualisation logistique via les groupements et les plateformes coopératives.
De la fourche à la fourchette : nous soutiendrons le développement d’outils structurants de la filière agro-alimentaire : groupements de producteurs autour d’outils de transformation, d’outils logistiques, de points de ventes, d’épicerie solidaires dans un objectif de territorialisation et de durabilité des filières.

Nous soutiendrons les créations de Société Coopérative d’Intérêt Collectif “ Foncière agricole” pour protéger les terres agricoles communales et/ou intercommunales de la spéculation foncière, au profit de projets collectifs structurants.

Nous soutiendrons la création de légumeries locales dans les établissements de restauration collective car elles permettront de réduire les transports avec moins de kilomètres parcourus et donc moins d’émissions de CO₂, mais c’est aussi un moyen pour réduire les emballages et c’est une solution pour lutter contre le gaspillage. Lorsque ce sera nécessaire, nous créerons des légumeries mobiles.En parallèle, nous développerons la création de parcelles de jardins familiaux et en partage, en mobilisant le foncier non bâti partout où il est disponible, y compris au cœur des QPV.


